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Michael Jordan a 50 ans : 5 moments légendaires en Finale NBA (3ème partie)

Publié le 17 février 2013 par Insidebasket @insidebasket
Pour fêter dignement les 50 ans de Michael Jordan, InsideBasket vous propose de revivre ses cinq moments de légende en Finale NBA. Deuxième volet avec le Game 4 des NBA Finals 1993.
Aucune équipe n'avait réalisé de three-peat depuis la grande époque des Celtics dans les années 60. Pas même les Lakers ou les Celtics des années 80. Si conserver son titre est une rareté, le garder trois saisons de suite l'est encore plus. C'est dire l'ampleur de la tâche qui attend Michael Jordan et ses compagnons de route dans cette finale face aux Suns.
En face, son ami Charles Barkley et des Suns affamés. Tous ont envie de signer ce qui constituerait un véritable exploit, et ils possèdent l'avantage du terrain, contrairement aux précédentes finales des Bulls. Mais cet avantage va bien vite s'effondrer. Après un Game 1 maîtrisé, les Bulls volent le Game 2 à Phoenix, ne laissant que peu de doute sur l'issue d'une finale qui retourne à Chicago pour trois matchs.
Pourtant, les Suns vont remporter un Game 3 sous haute tension en triple prolongation, relançant la machine, pour arriver à ce Game 4, si important. Jordan et les Bulls savent qu'ils perdront l'avantage psychologique en lâchant le match. MJ va alors s'atteler à la tâche et le récital sera complet : 55pts à 21/37 aux tirs et 13/18 aux lfs, 8rbds et 4pds. Il faudra bien ça pour stopper des Suns héroïques derrière le triple-double de Sir Charles.
Les Suns auront d'ailleurs constitué l'adversaire le plus coriace en Finale lors des trois premiers titres des Bulls. Sans avoir gagné le moindre match dans sa salle, Phoenix a souvent poussé Chicago dans ses derniers retranchements. Mais a du s'incliner en grande partie à cause de la prestation ébouriffante du patron Jordan sur l'ensemble de la série : 41.0pts à 51% aux tirs, 8.5rbds et 6.3pds en moyenne par match. Alors au sommet de son art, Michael Jordan décidera pourtant de passer à autre chose. Pendant un temps. Mais ça, c'est une autre histoire...

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