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Le Zimbabwe n'a procédé à aucune exécution depuis 2005, année où le dernier bourreau en poste dans le pays a pris sa retraite.
"Ce recrutement macabre est plus qu'inquiétant et laisse à penser que le Zimbabwe n'est pas disposé à rejoindre le mouvement mondial en faveur de l'abolition de ce châtiment cruel, inhumain et dégradant", a déploré Noel Kututwa, directeur pour l'Afrique australe à Amnesty International. "La peine de mort est une violation du droit à la vie, qui est inscrit dans la Déclaration universelle des droits de l'homme et d'autres instruments internationaux relatifs aux droits humains auxquels le Zimbabwe est partie."
Le nouveau projet de Constitution du Zimbabwe, qui fera l'objet d'un référendum au cours des prochains mois, prévoit que la sentence capitale ne s'applique pas aux femmes, aux hommes âgés de moins de 21 ans au moment des faits ni aux hommes de plus de 70 ans. La peine de mort perd également tout caractère obligatoire.
Si Amnesty International se réjouit de ces restrictions à l'application de la peine de mort, elle demande l'abolition totale de ce châtiment dans la nouvelle Constitution, sans distinction de genre et quelles que soient les circonstances du crime.
Selon les médias officiels, un nouveau bourreau a été nommé au Zimbabwe, ce qui fait craindre qu...
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