Yolo, on ne vit qu'une fois // Saison 1. Episode 1.
Yolo c'est la nouvelle série réalité de W9 surfant sur le succès de Hollywood Girls sur NRJ12. Sauf que misère... Yolo est une catastrophe. A peine le premier épisode commence que l'on a un petit
résumé de qui sont les personnages, quelle est leur situation et ce qu'il faut attendre de leur part. En gros, en deux minutes, on a pu voir ce que tous les épisodes par la suite allaient
raconter. Mais Yolo c'est surtout l'acronyme de You Only Live One, ou n'a qu'une vie en français. Un phénomène de mode actuellement aux Etats-Unis. Yolo nous invite dans l'univers d'une
collocation, comme les productions de Jean Luc Azoulay pouvaient le faire dans les années 90. Gros problème, j'ai toujours détesté ces séries de la mode AB. Dans un loft ressemblant plus à un
entrepôt à horreurs (pourquoi W9 n'a pas fait appel à la conseillière déco maison, Valérie Damidot ?) entre meubles flashy, taules en guise de murs, ... Tout est déparaillé, rien n'a de sens.
C'est même là que l'on se demance ce que fait un mec de 40 ans (le propriétaire).
Ils sont beaux, jeunes et entendent bien jouir de la vie sans limite. Sept jeunes, cohabitent dans un loft, et vivent chacun leur vie, suivis par des caméras.

Un peu comme les garçons, se balandant constamment à moitié nu dans l'appartement, comme si Yolo était un terrain de jeu pour nuddistes. Le personnage qui a retenu le plus mon attention c'est surement Roxane, la bimbo de la bande. En plus d'être un vrai bulot, elle est tout simplement exécrable et ennuyeuse à mourir. Car derrière chaque personnage se cache une vraie tête à claques. Vous savez ces personnages à qui l'on n'a pas envie de dire quoi que ce soit mis à part "Ta gueule". Désolé pour l'impolitesse mais je crois qu'elle est de rigueur. Il est rare pour moi de trouver quelque chose aussi affligeant que ne l'aura été Yolo. Epouvantable merde, W9 aurait dû s'inspirer d'Hollywood Girls, la série réalité d'NRJ12 qui en plus d'être beaucoup plus fun est bien plus addictive dès le premier épisode (et ce malgré quelques erreurs ici et là). Je prends chaque année un malin plaisir à suivre les aventures d'Ayem, Caroline et cie. C'est mon guilty pleasure à moi. Mais Yolo est hors limite, comme un OVNI que l'on n'aurait jamais voulu voir de notre vie.
Note : 0/10. En bref, navrant, tête à claques et pas drôle. Epouvantable merde.