Chicago Fire // Saison 1. Episode 17. Better to Lie.
J'aime bien les personnages de Chicago Fire, mais ce n'est pas pour autant que j'aime les intrigues de tous. Disons qu'il y a de bonnes choses, mais aussi des plus médiocre. Bien
que la série ait pris une bonne direction, notamment en développant des intrigues à fort potentiel émotionnel, je reste toujours aussi septique vis à vis des interventions que je trouve beaucoup
trop anecdotiques et qui ne permettent pas vraiment de voir à quel point les personnages évoluent dans leur travail. Je pense notamment à Peter Mills qui se retrouve sur le devant de la scène
lors d'une intervention dans cet épisode. Un moment touchant mais qui aurait certainement mérité un traitement différent. Il y a toute de même de bonnes choses ici et là dans cet épisode, comme
Shay qui décide d'avoir un enfant. Il faut bien avouer que le départ de sa petite amie a changé beaucoup de choses dans sa vie. Maintenant elle veut elle aussi un enfant depuis qu'elle a connu le
bonheur d'être mère au travers de son ex petite amie.
Je ne sais pas comment cela va évoluer mais j'ai envie d'en voir plus. Surtout que Shay est un personnage qui a beaucoup plus de potentiel que Chicago Fire ne semble vouloir lui
en donner. L'intrigue du père de Severide était un peu barbante. Disons que je ne suis pas un grand fan de Benny Severide et surtout de l'acteur que je trouve particulièrement ennuyeux. Il fait
exactement la même chose (dans le même registre puisqu'il incarne aussi le père d'un garçon) dans White Collar et c'est tout de même bien plus potable dans la série d'USA
Network que dans Chicago Fire. Même si Kelly tente de remonter le niveau, notamment en restant égal à lui même. Mais je ne suis pas certain que Chicago
Fire ait quoi que ce soit de réellement passionnant à dire autour de Benny. Je peux me tromper mais cet épisode ne parvient pas à me faire changer d'avis. Malheureusement pour les
scénaristes.
Note : 4.5/10. En bref, quelques moments d'ennui pour un épisode bringuebalant d'un côté, mais plutôt sympa de l'autre.