Comme on me traite de féministe, je suis parfois (un peu trop) sur mes gardes. Ce matin, au journaliste qui me dit :
- « Vous allez bien ?
- oui, merci, et vous ?
- Vous savez que nous sommes en guerre ?
- … / … »
(vu que c’est un homme que je connais un peu et que je sais être dans un univers quelque peu, on va dire, masculin et qu’en plus, on est le 8 mars), je réponds, sourire en coin :
- « En guerre… contre les femmes ?…
- Mais non, je vous parle du Mali… »
Sic. Esprit mal placé je possède.