Régis Labeaume raconte son histoire

Photo : Journal de Québec / Benoit Gariépy / Agence QMI

Lorsqu’on me demande si j’ai des modèles d’entrepreneurs , je réponds souvent non, car j’aime beaucoup m’inspirer de différents parcours pour créer le mien.

J’ai lu le parcours du maire de Québec, Régis Labeaume, dans le Journal de Québec. J’ai bien aimé apprendre à le connaître autrement. Je me suis d’ailleurs reconnue dans plusieurs passages. Je vous partage ce que je retiens de cette entrevue.

Il faut toujours s’entourer

Dans son entrevue, Régis Labeaume rappelle l’importance de bien s’entourer et toujours s’entourer de personnes meilleures que soi pour avancer autrement en affaires. Ça me fait penser beaucoup à mon projet MacQuébec. Les experts Apple dans ce projet sont ceux qui y travaillent et non moi !

La richesse n’apporte pas le bonheur

La plupart des entrepreneurs que j’ai rencontrés n’ont pas d’attachement à l’argent. Régis Lebeaume est un bel exemple. Il a été Millionnaire à 30 ans et à 31 ans il était ruiné. Ce passage de l’entrevue en dit long sur sa pensée. Je me reconnais beaucoup en elle :

Les amis sont importants

Tout comme moi, Régis Labeaume raconte qu’il côtoie plusieurs personnalités du monde des affaires durant la semaine et que les fins de semaine sont consacrées à ses proches. Il a les mêmes amis depuis très longtemps. C’est la même chose pour moi. Mes amis et ma famille sont mon équilibre. Je n’aime pas parler de boulot avec eux. Leur présence est souvent synonyme de détachement du travail et j’aime beaucoup ça.

Sans vision, on n’avance pas

Avoir une vision claire d’où on s’en va, en tant qu’entrepreneur, c’est très motivant et ça l’est également pour notre équipe. J’ai beaucoup aimé le passage de l’entrevue où il parle de sa vision du Québec. Il rappelle l’importance d’en avoir une. «Faut que je carbure à quelque chose. Ça me prend une mission. Et Québec me fournit des missions, des projets. La vérité, c’est que je n’ai jamais été aussi heureux de toute ma vie. Je suis à ma place à Québec. Une ville de 500 000 habitants, c’est parfait. Une province, c’est autre chose. Mais une ville comme Québec, on sait ce que c’est. Et on sait ce que ce sera dans 15 ou 25 ans. On sait où on s’en va. C’est facile de gérer quand on sait où on s’en va. C’est oui ou c’est non, selon la vision de la ville qu’on a. … » dit-il

Qu’on aime ou qu’on n’aime pas Régis Labeaume, il faut l’avouer, on le découvre sur un nouvel angle dans cet article du Journal de Québec.