Anger Management // Saison 2. Episodes 9 et 10. Charlie is an Expert Witness / Charlie & Catholicism.
Je commence sérieusement à me demander pourquoi je vous parle de Anger Management chaque semaine. D'une part car je trouve que la série a perdue un peu tout ce qui faisait son
intérêt, mais aussi car je trouve qu'elle ne m'intéresse plus du tout. Parfois, je regarde certaines horreurs télévisuelles (je me souviens encore l'an dernier d'Unforgettable ou
encore de la saison 1 de Body of Proof il y a deux ans de ça), mais c'est dans l'espoir qu'un jour cela devienne un peu plus intéressant. Sauf que ce n'est pas du tout le cas
parfois et forcément, je suis déçu. Pour Anger Management, j'ai surtout commencé cette comédie car j'aime bien Charlie Sheen. Pour moi c'est un acteur assez bon
dans le registre de la comédie (qui a vu Hot Shots comprendre ce que je dis, et même Two and a Half Men à son époque). Mais avec Anger
Management je découvre un Charlie Sheen qui ne fait plus le Sheen que j'aimais bien. Le côté graveleux à complètement disparu pour laisser place à quelqu'un de propre
sur soi. Un peu dommage même s'il tente de redorer son blason depuis ses frasques. C'est compréhensible mais ce n'est pas ce que le téléspectateur attend de lui, enfin… pour moi ce n'est pas le
cas.
Du coup, ces deux nouveaux épisodes d'Anger Management m'ont presque donné envie de mettre la série de côté, de me dire que je pourrais regarder ça un autre jour, quand le temps
sera beaucoup moins clément à pointer mon nez dehors. J'ai l'impression de perdre mon temps. C'est donc un semi adieu, avec la potentielle promesse de revenir si jamais j'en ai envie.
"Charlie is an Expert Witness" aurait pu être très drôle par exemple, notamment car il met enfin au centre de l'histoire la relation entre Charlie et Kate. Cette semaine ils vont
devoir se battre au tribunal alors qu'ils sont les experts témoins de deux partis opposés. Autant dire que pour eux c'est pratique. Mais le ressort comique qui aurait pu ressortir des diverses
situations était raté. En plus de ça, je ne comprends pas vraiment le jeu de Selma Blair. Elle semble ne pas vraiment se plaire parfois. Il y avait aussi la mission que Charlie
donne à Nolan qui était ridicule et ne fait pas du tout avancer le Schmilblic. Disons que je ne suis pas un fan de Nolan. Le plus gros problème d'Anger Management c'est ses
seconds rôles, souvent creux et pas assez drôle.
Note : 3/10. En bref, Anger Management a eu raison de moi. J'abandonne.