De précédentes études ont mis en évidence le rôle des facteurs environnementaux tels que les perturbateurs endocriniens sur la qualité des gamètes et la qualité du sperme est devenue ces dernières années une source d’inquiétude alors qu’elle est cause d’infertilité chez environ 1 couple sur 5. Cette étude de chercheurs de l’Université Ben Gourion du Néguev (Israël) apporte un élément nouveau, cet effet de variations saisonnières de la fécondité. Leurs conclusions, publiées dans l’édition de février de l’American Journal of Obstetrics and Gynecology, suggèrent que les chances de concevoir, en particulier pour les hommes de couples ayant des difficultés, seraient plus élevées en hiver et au printemps.
Ces chercheurs israéliens ont analysé les échantillons de sperme de 6.455 échantillons de sperme de 6.447 hommes suivis en clinique ou centre d’infertilité. Les auteurs rappellent qu’il est recommandé de consulter, en cas de rapports sexuels réguliers et d’absence de conception (Lire la suite)