Dans le genre langue de bois valaisanne, le sémillant commandant de la POLCANT valaisanne et ses avocats ne prennent pas de gants.
Après avoir clamé en choeur de pleureuses que cette pierre n’avait aucune valeur, les voici « très soulagés et satisfaits de cette décision« .
Celle qui condamne l’intéressé à un an et 15 jours de prison avec sursis et suspension, un turquerie juridique de plus inconnue au bataillon suisse.
Après réflexion, Varone va sans doute pouvoir (devoir?) quitter ses fonctions juste avant de recevoir des ordres du barde musclé reconverti en conseiller d’État.
Tout ça pour ça! et juste deux jours après le deuxième tour perdu par le PLR …. quel étrange soulagement!