La défaite du parti démocrate italien conduit par Walter Veltroni doit enseigner la gauche française.
A la lumière du scrutin italien, on peut constater que la gauche est bien loin de pouvoir se poser uniquement la question de ses alliances électorales. Elle doit savoir auparavant ce qu'elle est vraiment.
Il est aussi à noter que l'alliance de centre gauche mordant sur sa droite voulu par Walter Veltroni n'a pas séduit l'électorat italien et qu'un grand nombre d'électeurs réfractaire à Berlusconi ont rejeté ce scrutin.