Ah cette joie en nous,parfois oubliée,
Refoulée aux intérêts d’un égo toujours fourbe,
Quand rend-il cette folle mélancolie,
Nostalgie d’une éminente vérité,
Matrice de notre évidence qu’il nous faut retrouver,
Oui notre joie première d’être amour,d’être divin,
Offrons-nous au bonheur de la rencontrer de nouveau,
Toute insolence alors vaincue.