Extrait d’article des Echos (très intéressant) :
Bernard Charlès, le patron de Dassault Systèmes, a relancé le débat sur la taxation des plus-values liées aux stock-options. « L’entreprise et son salarié vont devoir payer en taxes et en impôts jusqu’à 80 % de sa valeur, ce n’est pas tenable », se révolte Bernard Charlès, directeur général de Dassault Systèmes. Le point sur la complexe imposition de la plus-value sur les stock-options.