« La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? » (L.Parisot)
j’apprends avec une certaine délectation que la Présidente du Médef, malgré ses intrigues poutiniennes, n’arrivera pas à échapper à la précarité de sa condition de patronne du Medef. Elle qui, contrairement à sa maxime, avait fait des pieds et des mains pour s’accrocher à son siège comme une moule à son rocher… Voilà qui est une bonne chose : place aux jeunes !
Et puis, elle qui a si bien travaillé pour ce gouvernement si peu socialiste en écrivant l’ANI pourra jouir à présent d’une bonne retraite bien gagnée pour services rendus… au PS !