« Bondi beach pas seulement une plage mais un art de vivre », voici ce qui pourrait bientôt être le gros titre des « Capital » et « Enquêtes exclusives » du dimanche soir. Habité à Bondi beach c’est avant tout être en possession d’un large et spécifique attirail, malgré des apparences souvent trompeuses. Allant de la traditionnel planche de surf à celle de skateboard puis de la running level « novice », « amateur » ou « confirmé » au Vans et Carhartt pour le reste de la population. En dépit d’une malbouffe au rayonnement national Bondi est bel et bien l’eldorado d’une nouvelle population en pleine essor que j’appellerais après mûre réflexion « l’hyper-protif », autrement dit l’amalgame entre le régime « hyperprotéiné » et le « sportif ». C’est après un constat des plus étudié que je peux confirmer que le muscle apparent n’est pas toujours issu d’appellation contrôlée. Ensuite on remarque un autre phénomène, tout aussi présent, celui de l’évolution de type exponentiel du tatouage, aujourd’hui réduit à la simple expression « tatoo ». On le retrouve sous forme simple ou trash, avec une très large diversité de modèle, de taille, de style, et de charme, si charme il y a. Enfin, question look tout est dans l’attitude, buste bombé, poitrine quelque peu dénudée et cheveux ébouriffés par un mistral à faire rougir nos chaleureux marseillais. Cependant au delà d’une population au style encore plus accentué que le stéréotype australien, on retrouve une odeur aux saveurs vacancières, le tout grâce à divers parfums de viandes, poissons et fritures en tout genre.J.R
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble