Body of Proof // Saison 3. Episode 7. Skin and Bones.
Après l'exorcisme dans l'épisode 3.03, maintenant c'est au tour du zombie de faire son apparition dans Body of Proof. Enfin, pas exactement le zombie mais c'est en tout cas
l'impression que voulait donner le début de l'épisode. Il faut dire que le succès de The Walking Dead a fait des émules ces dernières années. Il y a quelque chose que je remarque
encore une fois dans cet épisode c'est que le coéquipier de Tommy a disparu. C'est dommage car ce personnage était intéressant. Tout cela est fait pour que Body of Proof se
concentre sur une relation bien moins croyable qui est celle de Tommy et Megan (ou alors j'ai loupé son départ). Je n'ai jamais compris comme une légiste pouvait enquêter avec la police. Cela
parrait tellement suréaliste. Je ne sais pas si cela est possible dans la réalité, mais je ne pense pas. Ou alors ce serait vraiment surprenant. Cette semaine nous avons eu droit au retour d'un
personnage déjà aperçu dans le double épisode de la saison 2.
En efet, nous avions déjà vu Charlie Stafford (incarné par Luke Perry) dans une histoire de menace bactérielle à Philadelphie la saison passée. C'est maintenant le nouveau Health
Commissioner et il doit travailler avec Megan sur ce nouveau cas alors que cette histoire pourrait impliquer une nouvelle forme de rage. L'enquête n'était pas déplaisante, surtout que l'épisode
joue assez bien avec les relations des divers personnages. Le triangle composé de Megan, Charlie et Tommy n'est pas une mauvaise chose bien que j'aurais préféré qu'ils aillent peut être un peu
plus loin de ce point de vue là. Ce que j'avais aimé dans l'intrigue de base de l'épisode c'est que cela soit complètement fou. L'idée de voir des gens atteint de la rage qui se transforment en
sorte de zombies était vraiment drôle. Mais le fait est que Body of Proof veut se transformer cette année en série bien plus srieuse à mon grand regret. C'est dommage car je suis
certain que cela aurait vraiment pu être plus fun.

Note : 5/10. En bref, un épisode qui n'était pas déplaisant mais qui prend bien trop de racourci avec ses personnages.