Go On // Saison 1. Episode 21. Fast Breakup.
L'épisode précédent avec Courteney Cox était bon. Il m'a rappelé une belle époque qui était celle de Monica et Chandler. Il y avait au fond de cette mini réunion
Friends quelque chose de très bien fichu. Et épisode en plus de ça, restera l'un de mes préférés de Go On (car oui, même si cela peut paraitre étrange, j'aime
plusieurs épisodes de cette comédie). "Fast Breakup" était cependant un peu trop too much et partait dans tous les sens. C'est dommage car ce n'est pas du tout ce que j'attends
de la part de Go On, loin de là. Ce que j'attends de cette comédie c'est quelque chose de différent, de bien moins colérique. Quand Ryan commence à faire le cinglé avec la
mascotte, j'ai cru que j'avais fait un grand huit. Et une fois que j'ai fini un grand huit, croyez moi, le bitume s'en souvient. Tout commence alors que Carrie, l'assistante de Ryan décide de lui
avouer à demi mot qu'elle a des sentiments pour lui et qu'elle ne peut donc plus travailler pour lui. Leur histoire était un peu trop mal orchestrée.
Disons que ce que j'attends généralement de la part de Go On c'est qu'elle me fasse rire avec ses personnages haut en couleur. J'ai bien conscience du fait que Ryan King est un
personnage haut en couleur, mais quand Matthew Perry en fait trois tonnes, je décroche complètement. Car tout d'un coup ce n'est plus du tout aussi intéressant. J'ai donc un peu
moins apprécié Ryan dans cet épisode contrairement au reste de l'épisode qui était un peu plus plaisant grâce aux autres personnages. Les séquences de la mascotte (et notamment sa petite danse)
sont assez répétitive. C'est un running gag qui aurait pu être drôle mais j'ai trouvé ça vraiment lourd dans Go On. Peut être que ce n'est pas du tout le genre de comédie que
Go On est sensé faire. Enfin, je ne veux pas non plus trop dire de mal de cette comédie qui a ses bons côtés aussi. Mais elle sait aussi décevoir ses téléspectateurs d'une façon
bien trop dommage.

Note : 4/10. En bref, dommage que cet épisode soit aussi médiocre. Tout cela à côté d'un Matthew Perry qui en fait des caisses le tout dans un environnement lourdingue.