Person of Interest // Saison 2. Episode 19. Trojan Horse.
Ce que j'aime chez Person of Interest c'est qu'elle peut nous sortir de son chapeau des épisodes qui combinent à merveille tout ce qu'elle sait faire de mieux. Et "Trojan
Horse", en plus de faire revenir deux très bons personnages (Carl Elias et Samantha Shaw), développait une histoire réellement proche de l'univers dans lequel la série évolue et
notamment ses personnages. La Machine est un élément central de la série et bien que l'on n'ai pas nécessairement une idée précise de toutes ses capacités, de tout ce qu'il y a à savoir sur son
intelligence, ... on voit pertinement toute la complexité de la chose et c'est ce qui me rempli de joie. Cette semaine, Finch va intégrer une firme afin de déterminer sur leur numéro sorti de la
Machine tente d'aider la société ou bien de la faire couler. Monica Jacobs était un personnage vraiment sympathique. En tout cas, je l'ai bien aimé. Incarnée par Tracie Thoms
(Wonderfalls, Cold Case) elle apporte un truc qui colle tellement bien à Person of Interest.
Derrière ce personnage qui se trouve être une femme manipulée par sa société (qui est elle même manipulée par un grand manitou aux cheveux gris, tout cela pour me rappeler encore plus l'homme à
la cigarette de X Files), se cache aussi quelqu'un de perspicace. L'association avec Finch était efficace et cocasse (notamment quand les deux travaillent ensemble et font des
blagues de génies informatiques que Reese ne comprend pas). J'ai également bien aimé le rôle de Martin Baxter, le patron de la société qui se suicide à la fin de l'épisode comme si de rien
n'était. Incarné par Larry Bryggman (As The World turns), je me demande ce que tout ce que l'homme aux cheveux gris (on n'est pas dans Revenge
je vous rassure) voulait réellement dire. Mais j'ai hâte d'en voir un peu plus finalement car cela cache pas mal de choses et peut être même l'intrigue de la saison prochaine (car Person
of Interest a une facheuse tendance à étaler ses intrigues sur plusieurs saisons).

Note : 8/10. En bref, l'association intelligente de ce que Person of Interest sait faire de bon.