On se demandait comment les procureurs genevois avaient pu être aussi rapides et zélés dans l’exécution d’une demande d’entraide judiciaire où il doit être prouvé ou fortement démontré qu’une escroquerie fiscale a eu lieu au sens du droit suisse.
Car la simple détention d’un compte n’en est pas une. Il faut donc des bricoles supplémentaires.
Il apparaîtrait à ce titre que le bouillant ex-ministre s’est aussi fichu du banquier suisse en lui affirmant par écrit que ses avoirs étaient imposés en France.
Si on se met même à mentir à Julius Bär, où va-t-on …