Hello la blogo! C’est parti pour un nouvel épisode la rétro sur Louis de Funès, avant que Brother ne mette la main sur l’épisode tant attendu de Game of Thrones (tant attendu parce qu’il y a Thomas Sangster dedans, et que depuis Love Actually, je l’adore).
Bref, trêve de digressions, aujourd’hui, on parle d’Oscar, l’adaptation en film de la pièce préférée de Louis.
Christian Martin, employé de Monsieur Barbier, lui fait du chantage pour être augmenté afin de pouvoir épouser la fille de ses rêves. Barbier refusant, Martin lui apprend qu’il a détourné six cent mille francs pour faire croire à des détournements de fonds au fisc. Barbier cède. Une jeune femme se présente alors chez lui, une certaine Jacqueline, qui a fait croire à Martin qu’elle était la fille Barbier, Colette. Barbier désespère de jamais revoir son argent.
Ce film, bourré de gags et de rebondissements à n’en plus finir (il se termine d’ailleurs sur un cliffhanger), est quand même l’un des meilleurs de l’ère de Funès. Il tient à la solidité du casting, sans aucune fausse note, qui permet sans soucis de s’attacher aux personnages (oui, même à Martin, cet espèce d’imbécile).
Un Louis en grande forme qui se fait malmener par son masseur dans une scène d’anthologie…
Un Claude Risch content d’être là même s’il joue un gros con.
Et Claude Gensac, une nouvelle fois épouse de Louis. Sauf qu’elle s’appelle Germaine, et là, ça coince… ^^
Bref, les amis, un autre bon cru!
Note: 7,75/10 (scénario: 8/10 – jeu: 9/10 – BO: 6/10 – adaptation: 8/10)
La semaine prochaine, l’un de mes préférés, Le petit baigneur… Avalanche de roux! Yay!!