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« Koh Lanta » : L’infirmière prend la défense de la production

Publié le 09 avril 2013 par Buzzmedias @buzzmediasnet

Après de nombreux rebondissements dans l’affaire « Koh Lanta », c’est au tour de l’infirmière Agnès Auberger, de sortir de son silence et de nous donner sa propre version des faits. Buzz Médias vous en dit plus …

Alors que nous avons appris ce matin que la famille de Gérald Babin avait décidé de porter plainte contre X, un nouveau témoignage vient rejoindre les autres dans le dossier de la mort soudaine du candidat.

« Il n’y avait aucun signe avant-coureur de cet arrêt cardiaque »

Ce témoignage est celui d’Agnès Auberger, l’infirmière de l’émission qui assistait le médecin Thierry Costa. Cette dernière livrait hier, sa version des faits sur RTL au micro de Marc-Olivier Fogiel et dément les témoignages « malveillants » qui accusent la production d’avoir empêché Gérald Babin d’être soigné correctement.

Elle déclare également que le diagnostic du médecin urgentiste de l’émission « ne peut pas être remis en cause dans cette malheureuse histoire ». Selon Agnès Auberger, le médecin de l’émission qui s’est donné la mort la semaine dernière, n’aurait pas pu déceler que le candidat était atteint d’une maladie du cœur. « Il n’y avait aucun signe avant-coureur de cet arrêt cardiaque, de cette mort subite », a t-elle indiqué.

« A aucun moment Gérald ne nous a paru inquiétant »

« À aucun moment Gérald ne nous a paru inquiétant, » a tenu à expliquer Agnès Auberger. « Il parlait, il est resté toujours conscient, il était épuisé après son tir à la corde. On n’intervient pas en urgence pour une personne qui a des crampes, ce n’est pas une urgence médicale. » L’infirmière continue d’affirmer que l’état du candidat n’était pas critique : « Gérald avait de grosses crampes avec des muscles complètement contractés au niveau des jambes qui l’ont empêché de se tenir debout. Mais il nous parlait, il buvait, il a même pu manger quelques biscuits salés. Ça rentrait tout à fait dans le cadre d’une déshydratation, d’un coup de chaud suite à l’effort qu’il venait de fournir. On était tellement confiants dans sa capacité de récupération, qu’on a attendu un bon moment, pensant même qu’il pourrait peut-être participer à la phase finale. On l’a mis à l’ombre, on lui a donné à boire, on l’a perfusé parce qu’il peinait à récupérer. On a essayé de le laisser récupérer un maximum avant de prendre la décision de l’évacuer vers l’infirmerie. »

Agnès Auberger se dit aujourd’hui « vraiment blessée » par tous ces témoignages « malveillants » qui accablent la production et dément formellement ces accusations qui « ne reflètent en rien la réalité ».

« Depuis 10 ans, c’est toujours le médical qui a priorité dans l’aventure et même parfois contre la production, » affirme t-elle


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