Avant le départ pour Tokaj, quelques vues de Budapest où des stigmates du passé communiste sont encore présents alors même que les immeubles retapés montrent à quel point ce pays a connu des décennies de gloire quand l'Empire austro-hongrois lui a laissé les libertés essentielles.
Le Baron Haussmann, Gustave Eiffel et autres ont participé à la création de la ville nouvelle.
Le ghetto juif est resté pratiquement en l'état et les boîtes de nuit à la mode se créent autour des restes du communisme qu'on veut garder tels quels.
Le Parlement sur le Danube
Trabant souvenir…
Notre guide nous a chambré : ces orgues ne donnent pas l'impression d'être les plus grandes d'Europe !
300 forint = 1 euro : faites le calcul !
De solides mamies locales à qui on ne le fait pas !
Carte des vins d'un excellent restaurant : informations complètes ! Un exemple.
Depuis qu'on a séché les stocks de Villa d'Este, ce millésime plus que remarquable devient rarissime !
Les stigmates du passé
Richesse baroque de l'opéra, financé à 50 % par l'Empereur qui exigea alors qu'il ne soit pas aussi grand que celui de Wien.
Cathédrale St Etienne : du marbre et de l'or
L'immense marché couvert construit par Eiffel
Samuel Tinon en personne
Le marché couvert
Les fameux bains avec les joueurs d'échec
A la manifestation "Tokaj" à l'Intercontinental, le Burgerland autrichien était présent. Ici, Umathum.
Toute une série de vitrines décrivant les champignons qu'on trouve en Hongrie
Enfin, les vitrines exposant les grands crus du pays
Budapest est une ville qui mérite un long week-end. Outre les promenades sur ou le long du Danube, les amateurs d'opéra seront plus que ravis : pratiquement un spectacle différent chaque soir, avec des grands classiques. Prix doux.
Recommendation d'un hôtel : le
Casati, superbement placé, discret et avec tous les services qu'on puisse imaginer, spa compris. Prix plus que corrects. On trouve facilement des guides parlant français, qui vous prennent en charge dès l'aéroport. Le nôtre était plus que compétent et nous a raconté en détail la chute du communisme et comment les gens ont pu acheter l'appartement où ils vivaient à 10 % de la valeur du moment; ici, 90 % de la population est propriétaire (dixit notre guide). Une dernière photo : l'intérieur du Parlement :
Depuis l'Iphone de Madame