« Dans de nombreuses régions, les gens ne peuvent se rendre dans un hôpital ou dans un dispensaire en toute sécurité. En outre, avec la fin de l’hiver, on a tout lieu de craindre une recrudescence des combats, ce qui risque d’aggraver encore la situation », explique Gherardo Pontrandolfi, chef de la délégation du CICR à Kaboul. « Les combats, les barrages routiers, les attentats à la bombe et l’insécurité généralisée empêchent les blessés et les malades d’accéder aux soins de santé et à l’aide humanitaire, souvent au moment où ils en ont le plus besoin. » (lire la suite)