Dark Minions // Saison 1. Episode 1. Pilot.
Je ne suis pas un grand client des séries animées. Je vous ai déjà parler de tout un tas de séries d'animations ces dernières années mais aucune ne parvient à me faire autant rire que
Family Guy, les Simpson ou encore American Dad. Je suis très séries animées familiales et mainstream. J'avais pu voir il y a quelques années de
ça la première saison d'Archer et sans détester je n'avais pas choisi d'aller plus loin. Bref, je ne suis pas celui sur qui il faut compter, sauf peut être dans le registre
Disney XD (Tron Legacy, Gravity Falls). Je me suis donc lancer sans aucune grande conviction dans Dark Minions et bien que cela
ne soit pas catastrophique, je n'ai pas vraiment aimé. On ne peut pas vraiment juger totalement du produit étant donné qu'il n'est pas terminé (certaines scènes sont des dessins avec les diverses
voix des personnages qui nous racontent ce qu'il se passe), mais l'on peut cependant juger de l'histoire et des personnages.
Deux marginaux gagnent leur vie en travaillant dans un vaisseau spatial en guerre...
C'est aussi le problème de devoir séduire sur 20 minutes des potentiels téléspectateurs. Car Amazon pourrait choisir de ne pas commander d'épisodes supplémentaires de Dark Minions (et cela ne me ferait ni chaud ni froid) mais voilà, je pense qu'ils auraient pu se contenter de bien moins. Et du coup de tenter de nous faire beaucoup plus rire. Pour les fans de séries animées, je pense qu'il y a un potentiel. L'histoire n'est pas totalement dénuée d'intérêt mais les personnages ne sont pas passionnant (c'est en tout cas ce que j'ai ressenti). Du coup, je ne sais pas vraiment où l'on va et comment. L'animation en stop motion a connu des jours bien meilleurs et notamment dans Community alors à moins qu'Amazon donne des directives à Dark Minions pour qu'elle s'améliore (et prenne en compte les avis de divers spectateurs) je ne vois pas comment je pourrais avoir envie de remettre les pieds ici.
Note : 4/10. En bref, sans être totalement raté Dark Minions prouve qu'elle a quelque chose à raconter et que c'est parfois même assez cocasse. Mais le tout mélange tout et rien dans un gloubiboulga assez peu digeste.