Zero Hour // Saison 1. Episode 4. Chain.
Après la déprogrammation et annulation de la série part ABC, je dois avouer que j'avais rapidement oublié l'excistence de Zero Hour. Et ce n'est pas à contre
coeur. Ce nouvel épisode m'a prouvé une nouvelle fois toute la niaiserie de cette série. Disons que j'ai énormément de mal avec la plupart des choses qui vont se dérouler dans cet épisode. Le
premier problème ce sont les flashbacks qui nous racontent une histoire particulièrement lente et pas spécialemetn passionnante. Le fait que les horloges mènent à la croix (la vraie) du Christ
m'a fait doucement rire. Surtout qu'elle donnerait à celui qui la retrouve un pouvoir. J'en tremble déjà d'avance. L'idée aurait pu être bien exploitée si seulement Zero Hour ne
se concentrait pas sur son côté ultra niais. Je n'ai rien contre Anthony Edwards mais je trouve qu'il a de plus en plus de mal à nous faire gober ses histoires. Le plus gros
souci c'est qu'il ne croit pas à ce qu'il raconte alors forcément, on est bien plus poche d'une sorte de Da Vinci Code du pauvre qu'autre chose.
Le lien religieux était logique. Dès le début de la série je l'avais déjà senti. Le fait est que cela colle particulièrement bien à la série. Sauf que voilà, je pense qu'ils auraient pu faire les
choses de façon plus intelligente. Paul Scheuring, à qui l'on doit déjà Prison Break, montre qu'il a encore énormément de mal avec le feuilletonnant. Alors il
tente de trouver des choses pour ralonger artificiellement le tout. Durant toute une partie de l'épisode White Vincent va se demander s'il doit laisser Laila lui sauver la vie ou non. C'est quand
même d'un ridicule pas possible. Surtout que les échanges entre les deux personnages sont d'un bateau. C'est navrant de voir à quel point les personnages sont aussi mal exploités. On leur donne
les pires lignes de dialogue qu'il puisse exister. C'est dommage car je suis certain qu'il y avait de quoi apposer une vraie réflexion derrière Zero Hour. Enfin, je ne
m'attendais pas non plus à une série particulièrement intelligente et fouillée comme avait pu l'être le Da Vinci Code (qui globalement restait assez cohérent grâce à
l'amoncellement d'informations).
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Note : 2/10. En bref, chianlie parfois cocasse et logorhée verbale particulièrement ennuyeuse.