Pendant qu’elle ferme des succursales à qui mieux mieux et qu’elle offre un personnel de plus en plus désagréable et incompétent dans celles qui restent ouvertes, voici que le géant jaune avoue vouloir se lancer dans le colis « intelligent »: celui qui sait d’avance où son futur client veut qu’il se rende.
Simplement surréaliste.
On peut légitimement douter en effet qu’elle soit dotée de suffisamment de matière grise pour parvenir à ses buts, quand on voit qu’elle se lance aussi dans la correspondance commerciale.
Pas de risques donc pour les fiduciaires qui rouspètent, à condition d’y mettre du leur.