Libération s'interroge sur le couac. Cherchez dans vos connaissances quelqu'un qui lise encore Libé ou mieux Liberation.fr, c'est lui qui nous a mis sur l'affaire. Il nous évite un travail fastidieux et une rééducation politique douloureuse en s'adonnant à cette lecture. Nous lui disons merci.
Peut-on prétendre effectuer une "première approche scientifique" du couac sans avoir auparavant étudié le pouët ? Car si j'ai bien compris, on taxe Sarkozy de faire des couacs.
Couac sur couac. Couac couac couac. Couac couac couac couac. Peut-être même davantage. Le problème, c'est qu'il a passé son temps à nous prévenir à coup de pouët pouët : attention, j'arrive, regardez que moi, je suis l'intéressant. Pouët pouët pouët, l'homme-klaxon. Les klaxons italiens sont paraît-il interdits, les présidents klaxon ou les premiers ministre klaxon se multiplient.
Couac, c'est gentil. Ecraser de la talonnette le code du travail, c'est la Symphonie des Walkyries à côté. Après le pouët, le couac amuse les médias.