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Trail world tour Shikoku, 15e etape. Entre sentiers de montagne et grandes arteres.

Publié le 04 mai 2013 par Sylvainbazin

C  est encore apres une longue journee de marche que je vous ecrit ce soir, un peu fatigue tout de meme.
J ai repris mon pelerinage ce matin avant sept hdres. Comme le petit minshukus ne servait pas de petit dj je me suis contenter d une tablette de chocolat. Les tablettes ne pesent que 45g ici, je le precise....
Comme hier, ma journee demarre par une bonne montee. Un joli sentier, ombrage et boise, qui grimpe assez sec. Malgre la fatigue accumulee, mon pas reste assez dynamique. Je grimpe juqu a une pierre gravee, puis le chemin redescend. Petite route et villages de campagne paisible m attendent ensjit jusqu au temple 43.
La boutique de ce sanctuaire est particulierement fournie et on sert aussi du cafe. L accueil est sympathique et je m accorde un instant et une seconde tablette de chocolat avec le cafe pour completer mon dejeuner avant d aller voir l temple.
Bien ue le batiment principal soit en restauration, l endroit est tres beau. Le temple s eleve au milieu des arbres. J y reste un moment. Ce sera le seu l a mon prgramme du jour, le suivant etant a plus de 70kms.
Je repars ensuite sur un sentier forestier. De grands coniferes m entourent, les fougeres qui poussnt a leurs pieds me rappellent la foret ou j ai grandi, en ile de France. Je me sens naturellement bien dans ces bois, sans doute parce que c est dans ce type de nature que j ai appris a marcher et a courir. Je maitrise d ailleurs bien mieux la "technique" qu il convient d user sur cet environment que dans la montagne, la jungle ou le desert que j ai decouvet plus tard. C est tout a fait logique et mes amis coureurs sont aussi en general plus a l aise sur les terrains qui les onts vu grandir.
Mais le terrain change vite sur c chemin des 88 temples. Je retrouve les bords de la grande route 56, une vieilel amie deja, car j approche d Ozu. Ma marche redevient aussi plus penible.
Un restau indien, au bord de la route, etje me laisse tenter par une vraie pause dejeuner. C est un buffet et je m apercoit devant le riz et les differentes galettes que j ai vraiment faim. Ils est vrai que mon regime a ete assez leger hier, surtout en prenant en compte la depense energetique.
Cette pause, durant laquelle je discute un peu avec un couple de pelerins que je redoublerai un peu plus loin(la femme porte en marchant lunettes et masque integral pour se proteger du soleil qui semble tres craint ici) me fait du bien. Je repars avec bien plus d allant. Le parcours, pour eviter un tunnl a la bonne idee de s elever a nouveau a travers bois. Un beau passage qui m amene presque jusqu au centre ville d Ozu, ou je croise quelques boutiques interessantes, antiquaire et patissier notamment.
Les kms suivant sont moina droles. Je longe a nouveau la nationale dans une zone commerciale horrible. Mais le moral est bon. Je m amuse des enseignes, j observe. L anglai et l francais sont souvent employes dans les noms de magasins et devantures. Parfois au petit bonheur. Hier j ai double un sa lon de coiffure nomme tout a fait cheveu, aujourd hui je passe devant la rue mon chouchou au Japon.

Un peu plus loin, alors que je commenxc a trouver ce passage vraiment ingrat, un petit temple s erige entre les grandes Arteres routieres qui s entrecroisenf. On deescend alodzs ss un pont pour decouvrir une statue dde kobo daichi dormant. Il aurait passe une nuit ss ce  pont. Aujourd hui iil aurait ss doute eu du mal a dormir au milieu de ce tumulte automobile.
Je retrouve heureusement un chemin et un coin de campagne un peu u loin.

Le centre ville d Uchiko, un peu plu loin, est paisble bien qu assez frequnte. Comme la fatiue est la e que l here de s arreter commence arriver, cinq hjre sonnant aux carillons qui accompagne souvent ma marche au Japon, je commence a prospecter mais ne voit pas les hebergmnts indiques sur mon plan. Je continue quelques kilometres le long d une riviere avant d en trouver un, qui a l air assez chic, mais qui est complet. Le suivant est ferme. J avance encore mais c est egalement ferme. Comme la nuit est tombe je demande dans le bourg a des dames dans un mafasin d alimentation si elles connaissent un endroit pour dormir. Tres gentiment elles passent plusieurs coup de fil pour me trouver ca et me conduisent a quelqes encablures de la dans une vieille maison rusrique ou un couple age a l habitude d accueillir les pelerins. C est de la que j ecris, apres avoir discute un peu abvex eux. Ils n avaient encore vu personne mettre si peu de temps pour arriver a pied du premier temple e me conseille pour les prochaknes etapes. Demain je prevois ncore une grosse journee au profil vallone avan de faire plus court pour aborder le cenre de Martsumaya. On sit que la le pluduestrs fait

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