The Client List // Saison 2. Episode 9. Save a Horse, Ride a Cowboy.
Il est des séries particulièrement étranges. Et je pense que The Client List en fait partie. Le problème que je rencontre avec cette série c'est le fait que je ne sais pas du
tout si j'aime ou si je n'aime pas. Ou pas totalement en tout cas. Car il y a toujours des choses qui me donnent envie de revenir comme Jennifer Love Hewitt. Il faudra un jour
que je vous parle du pourquoi je suis aussi attaché à cette actrice et où est né cette histoire. Pour en revenir à l'épisode, les choses évoluent pour Riley et Kyle. Alors que Riley tente de
laisser Kyle revenir dans sa vie, ils vont partager une danse assez touchante durant l'épisode. Je pense que The Client List est bien meilleure quand ses personnages ne parlent
pas. Car au fond, les dialogues de la série ne sont pas ce qu'il se fait de plus raffiner dans ce bas monde. Je me demande cependant comment tout cela va évoluer. J'aime bien l'idée qu'ils
puissent se remettre ensemble finalement même si je vois constamment Riley avec Evan.
Ce dernier est d'ailleurs dans une toute nouvelle relation. Je trouve qu'elle prend cependant une tournure peut être un peu trop classique et que le tout pourrait alors être bien plus agréable à
voir avec un Evan prêt à tout pour récupérer celle qu'il aime vraiment. Mais j'ai l'impression que ce n'est qu'un but au milieu des autres. Et rien d'autre. Ce qui sera assez dommage finalement.
Mais ce n'est pas grave, je suis avec plaisir les aventures d'Evan maintenant qu'il est passé officier (bien que je trouve que l'on passe officier assez rapidement dans ce pays). L'intrigue la
plus ennuyeuse de l'épisode est celle de Lacey encore une fois, et de son mari. Les deux personnages sont assez pompeux. Bien qu'il y ait eu une certaine évolution faite vis à vis du personnage
de Lacey (notamment grâce à sa relation complice avec Riley depuis qu'elle sait pour les 50 000 dollars gagnés pas très catholiquement), dès que Dale est de retour, c'est le drame.

Note : 4/10. En bref, du bon, du moins bon.