Bonsoir le monde! Alors, ce lundi, comme toujours, on parlote des films cultes que nous a offert ce grand monsieur qu’était Louis de Funès.
Et cette semaine, ENFIN, on parle de mon épisode des Gendarmes préférés.
J’ai nommé Le gendarme en balade.
Regardez-moi là, et pas autre part.
Un drame s’est produit à Saint-Tropez. La brigade emmenée par l’adjudant Gerber a été envoyée à la retraite. Dans son château, Curchot s’ennuie ferme, jusqu’au jour où son ancien patron vient lui annoncer que Fougasse, leur ex-collègue, a été frappé d’amnésie et ne se souvient de personne. Cruchot et Gerber se donnent donc comme mission de rendre la mémoire à Fougasse, par tous les moyens nécessaires. Et d’en profiter pour faire la nique aux jeunots ayant pris leur place…
Inutile de préciser que cet épisode est bourré de gags jusqu’au troufion. C’est le meilleur, parce qu’il aurait dû être le dernier. Voilà.
Fougasse qui fait semblant d’avoir perdu la mémoire pour être logé et nourri aux frais de la princesse, ça n’a pas de prix. Cruchot et Gerber qui se retrouvent embarqués par des hippies, c’est savoureux. Ces mêmes Cruchot et Gerber qui doivent désamorcer une bombe artisanale, c’est…mythique.
Mes moments préférés? Comment n’en citer que quelques uns, tout le film est à mourir de rire…
Néanmoins, j’aime particulièrement la scène de fumage de joint avec les hippies. Scène à base de "ma soeur, mon frère", et bien sûr, et surtout, de "Je t’aime". Je le fais encore, tiens, de temps à autres… ^^
Et bien sûr, qui serais-je si je ne rendais pas hommage à Maman et Papa, pour qui la meilleure réplique est, bien sûr, "Elle est forte, celle-là!". XD
Bref, mes agneaux et agnelles, si vous ne l’avez pas encore vu, ce qui serait un blasphème éhonté, je vous ordonne de vous le procurer. Un bijou. Un vrai bijou. Plaqué or 24 carats et tout.
Note: 9,25/10 (scénario: 9/10 – jeu: 10/10 (ils s’amusent et ça se voit) – BO: 8/10 – comédie: 10/10)
Tu vas le regarder, Ludovic, sinon je te tue!
La semaine prochaine, on quitte de nouveau Saint-Tropez pour aller s’enterrer du côté de l’Espagne, et de son bon Monseignor… Yves Montand, saloperie de canon, va. Bref, bientôt, La folie des grandeurs!