Comme la pollution atmosphérique, la cigarette provoque la sous-oxygénation des
cellules. Fumer dégage des éléments toxiques qui, pour certains, prennent la
place de l'oxygène sur l'hémoglobine, privant ainsi l'organisme de l'élément le
plus nécessaire à la vie. Mais c'est tout l'ensemble du système respiratoire
qui est affecté par le tabac... Parmi les solutions (outre ne plus fumer
et ne plus fréquenter les endroits enfumés) une méthode fait de plus en plus
d'adeptes : le Bol d'air Jacquier. Du nom d'un ingénieur
chimiste et biologiste français, René Jacquier. Elle consiste à inhaler des
catalyseurs d'oxygénation capables de stimuler le métabolisme de l'oxygène.
Ces catalyseurs sont des extraits terpéniques dérivés d'une essence de résine
de pin, la térébenthine officinale. L'appareil Bol d'air, sorte de petit
laboratoire, effectue une transformation des ces essences, comme celle qui a
lieu dans la nature, avec la sève de pin, sous l'influence des ultra-violets du
soleil. Résultat, on respire un air chargé de molécules aromatiques
spécifiques, issues de la résine de pin et transformées par l’appareil en
porteurs d’oxygène. Elles optimisent le rendement énergétique de l’organisme en
améliorant l’assimilation de l’oxygène apporté par la respiration. Il suffit de
quelques minutes d’inhalation par jour pour une oxygénation équilibrée qui se
prolonge pendant plusieurs heures. Le fumeur, qu’il soit actif ou passif,
perçoit l’efficacité de cette respiration nouvelle. La sensation de détente et
de relaxation est immédiate.