La machine judiciaire vaudoise a encore tué.
Elle a laissé naviguer en toute liberté ou presque un gugusse dont elle savait parfaitement, il y a quelques mois encore, que la dangerosité commandait l’emprisonnement.
Et surtout, elle l’a laissé plus de 10 ans à l’ombre sans prendre les mesures adéquates pour que son caractère profond change et que sa dangerosité diminue.
L’échec total démontré par l’acte d’un système judiciaire et carcéral complètement anachronique.
Elle est donc coresponsable du meurtre commis et devrait prendre place comme telle sur le banc des accusés.
Certes personne n’est devin, mais il n’a jamais été interdit de réfléchir. Même chez les juges.