Rogue // Saison 1. Episode 8. A House is not a Home.
A la fin de l'épisode précédent, Grace tuait Max. Surtout pour se défendre mais elle éliminait également un problème dans sa recherche de réponses. Je ne m'attendais pas du tout à ce qu'elle soit
arrêtée à la fin de cet épisode alors que ses empreintes sont retrouvées sur un pistolet. Je me demande bien comment la relation qu'elle a avec Jimmy va bien pouvoir évoluer maintenant. Surtout
que ce dernier était au début de l'épisode inconsolable, ne comprenant pas le geste de son fils, et surtout pourquoi il aurait pu mérité la mort de l'un de ses enfants. Fort heureusement que ce
n'est pas Alec qui est mort étant donné que ce personnage est mon préféré de la série. Grace tente alors de donner à Jimmy un peu de courage et d'espoir pendant qu'elle tente aussi de se
reconstruire. Elle n'est pas bien à l'idée d'avoir maquillé ce crime et d'avoir éliminé un membre de la famille de son mari. Pire, le fils de celui ci. Alors que Grace recherche la personne qui a
tué son enfant, je me demande comment Jimmy va réagir réellement dans le prochain épisode.
Il ne se passe pas grand chose dans cet épisode autrement. C'est surtout de la mise en place pour les deux derniers épisodes de la saison avec un cliffangher inattendu mais aussi risqué. Le fait
qu'elle soit arrêtée pourrait la mettre dans une situation délicate dans les prochains épisodes. L'occasion est également là pour de mettre quelques petites scènes en compagnie de Tom Travis. Ce
dernier est un personnage que je trouve réellement bon bien qu'il n'ait certainement pas dévoilé tout ce dont il était capable. J'ai bien aimé Buddy aussi. Ian Hart lui donne
quelque chose en plus qui ne rend à la fois gentil mais aussi vilain. Il y a un tas de personnages dans cet épisode et pourtant, on n'a l'impression que l'histoire n'avance pas. Alors cet épisode
de Rogue préfère se concentrer sur une association assez intelligente de dialogues. Le tout fonctionne suffisamment bien et est même assez efficace pour ne pas perdre les
téléspectateurs dans du grand guignolesque. Le but n'est clairement pas perdre les gens mais bel et bien de faire en sorte qu'ils prennent le tas d'avaler les couleuvres.
Note : 3/10. En bref, trop de passages d'une lenteur cadavérique.