François Hollande n'a toujours pas compris qu'il faisait fausse route.
Il n'est même pas persévérant. Il est plutôt obstiné.
Il croit toujours dur comme fer que l'intervention de l'Etat ne peut qu'être providentielle et qu'elle doit même être offensive.
C'est pourquoi, lors de sa conférence de presse du 16 mai 2013, il n'a fait que persister dans cette erreur diabolique: pour résoudre la crise, il faut toujours plus d'Etat, plus d'Etat européen et plus d'Etat français.
C'est ce que je montre dans mon article publié ce jour sur lesobservateurs.ch.
Comme l'Etat est le problème, et non pas la solution, et que l'Etat, c'est lui, la conclusion s'impose d'elle-même.
Francis Richard