Ainsi serions-nous cultivateurs de cette terre appelée vie,
Nous convient-il que les mauvaises herbes n’envahissent nos précieux champs,
Ont-ils reçu la semence accordée par notre naissance,
Finement sélectionnée et séparée de la mauvaise ivraie,
Ainsi garantie et rendue par l’éternité,
Nous appartient-il maintenant de préserver au mieux sa croissance,
Le semis d’amour n’offre le meilleur de sa moisson,
Qu’au respectable connaisseur de sa divine valeur.