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Il s'agit de la première condamnation à mort au Bélarus depuis le cas très médiatisé d'Ouladzislau Kavaliou et de Dzmitry Kanavalau, condamnés à mort en novembre 2011 et exécutés en mars 2012.
"Les autorités bélarussiennes doivent fournir plus d'informations sur cette affaire, au lieu d'appliquer cette peine cruelle, inhumaine et dégradante en secret, comme elles en ont l'habitude", a déclaré David Diaz-Jogeix.
Le secret qui entoure la peine capitale dans ce pays est depuis longtemps source d'inquiétude pour Amnesty International. Les prisonniers risquent de se voir extorquer des "aveux" sous la torture, tandis que les condamnés à mort n'ont pas accès à des voies de recours adaptées.Amnesty International est depuis longtemps préoccupée par le droit à un procès équitable au Bélarus, qui est le seul pays de la région Europe-Asie centrale à encore recourir à la peine capitale, et où les condamnés à mort ne sont pas informés au préalable de la date de leur exécution.
"Le statut du Bélarus, seul pays de la région appliquant la peine de mort, est révoltant. Les autorités doivent immédiatement commuer cette condamnation et instaurer un moratoire officiel sur les exécutions en vue d'abolir ce châtiment", a déclaré David Diaz-Jogeix, directeur adjoint du programme Europe et Asie centrale d'Amnesty International.
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