Conformément à cette ligne, Prussian Blue s’attache à offrir des repères aux lecteurs, donnant accès aux ateliers des artistes, expliquant leur travail, informant de tout ce qui touche au marché de l’art, des collections privées aux ventes publiques. Une place particulière y est faite à la photographie contemporaine avec un parti pris: défendre la nouvelle vague parisienne. C’est pourquoi le magazine, à côté de photographes comme Richard Kern ou Juergen Teller, accueille régulièrement Christophe Acker, Giasco Bertoli, Nicolas Comment, Julien Levy ou Henri Roy qui partagent avec Guillaume de Sardes le goût de l’intime et de l’errance enchantée.
Au sommaire de ce quatrième numéro, nous découvrons l’atelier du jeune peintre allemand Tim Eitel. Tim Eitel est considéré comme l’un des peintres figuratifs les plus importants de sa génération, de longs entretiens avec André S. Labarthe et Philippe Grandrieux pour la rubrique cinéma, un article sur la liturgie cosmique de Le Corbusier pour la rubrique architecture, et des photos inspirés d’Antoine d’Agata (membre de la mythique agence Magnum), ainsi que de Nicolas Comment et Guillaume de Sardes qui ont photographié deux jeunes comédiennes Barbara Opsomer et Régina Demina.
www.prussianblue.fr L'intéressé – sans domicile et originaire d'Ukraine, et dont l'identité est gardée secrète – est u...

