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(le Monsieur dont la majuscule est de trop fait référence à ce billet)
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Pour information, et ceux qui ont encore quelques neurones à leur disposition le comprendront aisément, je ne fais pas de la devise du Front de Gauche - L’Humain d’abord – de belles paroles mais de vrais actes ! Ceux qui me connaissent et m’entourent le savent bien puisque je le prouve tous les jours… à ma modeste façon. Sinon, je ferais savoir qui je suis, crierais mon nom sur tous les toits… . j’ai juste tenu à resituer les vraies responsabilités de la mort de cet homme, et combien il fallait de souffrance et de vulnérabilité psychologique pour se laisser tuer par de telles idées, si insupportables pour ma conscience… Mais ceux qui tentent de me salir ici pour des raisons que j’ignore n’ont pas suffisamment de noblesse d’âme ou de bonne foi pour le comprendre, eux qui se prélassent dans la fange, pour seul exemple, de la promiscuité avec des gens comme ce profond D. Goux... J’ai bien fait de les rayer de ma gauchosphère à moi : ils n’y apportent que de la haine et du mépris, comme ceux qu’ils fréquentent un peu trop… Les idées sales, ça contamine.
Va, Nicolas, je ne te hais point : ce serait de l’énergie dépensée en pure perte… Je préfère la conserver pour d’autres combats… Je constate simplement que j’ai du toucher là où ça fait mal : tant de haine face à celui qui ose dire tout haut que le PS ne m’apparait pas très combattif face au FN, ça blesse, forcément les blogueurs de Solférino… D’où l’hystérie de ces propos cités en illustration de ce billet, que rien ne saurait justifier. Quant à souhaiter ma mort, l’histoire incriminée aura suffit à démontrer que je ne la souhaite même pas à mes pires ennemis… CQFD.
PS. (c’est le cas de l’écrire…) : et comme un malheur ou une bêtise n’arrive jamais seule :
Tu t’es vu quand t’a bu ? On admirera au passage la richesse du vocabulaire de ces gens là… C’est beau la (vraie ?) gauche, hein !
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