Philippe en train d'écrire devant l'entrée du musée Guggenheim
Philippe avec qui depuis plus d'une douzaine d'années j'organise des voyages un peu partout pour le plaisir d'écrire. Nous mettons sur pied pour les prochaines années de petits groupes pour des voyages dans une grande ville d'Europe pour une petite semaine.Cette semaine c'est Bilbao dans le pays basque espagnol. Nous pensions y trouver le soleil et la chaleur, et bien non, c'est partout pareil, il fait gris, frais et presque froid quand le vent souffle et il tombe parfois quelques gouttes de pluie.
même la gloire locale porte son parapluie...
Par contre, tout de suite cette ville nous a plu. Elle a du caractère.Quand on se promène dans la vieille ville, on se croirait dans le quartier du Panier à Marseille, les étendages traversent les ruelles à 4 mètres au-dessus de nos têtes, le soir les hommes sont tous dehors sur le pas de la porte et dans les bistrots environnants. Lorsqu'on flâne sur les bords de la rivière Ria de Bilbao, les maisons colorées aux grandes fenêtres nous rappellent les bords de Saône à Lyon, mais parfois, une grande demeure aux fenêtres décorées nous transporte à Venise…
Sur les rives du Rialto ? non du Ria de Bilbao !
Les quartiers plus modernes sont verdoyants avec de grandes places. Bus, métro, tram permettent de se déplacer aisément.la place Moyua dans le centre ville
l'architecture très diversifiée dans le centre ville
Mais l’attraction est le célèbre musée Guggenheim, immense architecture qui s’enroule, s’enlace, se tortille et brille de tout son titane à la lumière du jour. La nuit on ira quand il fera meilleur… Pour l'instant le ciel est gris, le vent frisquet et il tombe des gouttes de temps en temps.La découverte depuis la rue Iparraguire. Le fameux chien fleuri Puppy est sous
la structure bleue, en cours de plantation !
Avec un petit bout de ciel bleu en fin d'après-midi !
un autre point de vue, avec en fond l'arche rouge du pont...
près de l'entrée du musée, les courbes, le verre, le métal.