[Test] Metro : Last Light – Xbox 360

[Test] Metro : Last Light – Xbox 360 Editeur : KOCH Media
Développeur : 4A Games
Genre : FPS
Multi-joueurs : Non
Date de sortie : 17 mai 2013
Machine : Xbox 360

Nous sommes en l’an 2034.

Sous les ruines post-apocalyptiques de Moscou, dans les tunnels du Métro, les survivants sont assiégés par des menaces mortelles venues de l’extérieur… et de l’intérieur.

Des mutants rôdent dans les catacombes sous la surface désolée de la ville et chassent dans les cieux empoisonnés qui la surplombent. Au lieu de s’unir, les villes-stations du Métro se déchirent pour s’emparer du pouvoir suprême. Une guerre civile qui pourrait anéantir à jamais l’humanité fait rage.

Vous êtes Artyom. Accablé par la culpabilité mais plein d’espoir, vous détenez la clé de notre survie, la dernière lueur de nos heures les plus sombres…

Graphismes

Le monde de Metro Last Light est hallucinant de détails, de justesse et de finition. Les villes sont vivantes, chaque PNJ vit sa vie indépendamment. Metro Last Light fourmille de petits détails rendant le jeu unique tel que votre masque à gaz se fissurant, se couvrant de poussière ou de pluie. Rien à dire graphiquement Metro Last Light est très beau !

Jouabilité

Un gameplay aux petits oignons très facile à contrôler. Moins de lourdeur du personnage, plus de fluidité dans les mouvements, les combats sont mieux gérés. Que du bon.

Bande son

Côté son, la musique est envoûtante et s'harmonise parfaitement à l'univers. Les bruitages sont également parfaits. On discerne le moindre bruit : cliquetis, écoulements etc.

Durée de vie

Au moins une bonne dizaine d'heures si ce n'est pas une vingtaine histoire d'explorer à fond. D'autant plus que le jeu dispose d'une fin alternative donc, la rejouabilité est intéressante.