Suffit-il d’un orage de doutes,
Violents instants d’inconscience,
Pour détruire,rendre à néant toute une moisson de vive espérance,
Fruit tant espéré de pures certitudes,
L’amour alors abandonné,
Reclus en son coeur devenu muet,
Impuissant face à tant d’ignorance,
Pleure-t-il son oubli,
Se nourrira-t-il de cette souffrance rencontrée,
Rendra-t-il sa force aux semeurs de sa vérité,
Pour cultiver de nouveau la terre de leur espoir,
Par tout le savoir-faire de leur intime divinité,
Oui cette évidence que nombreuses seront les moissons garantes de leur éternelle richesse.