The Borgias // Saison 3. Episode 7. Lucrezia's Gambit.
Il y a des retournements de situation que je ne vois vraiment pas venir et c'est excitant. Cet épisode était l'occasion de me laisser encore une fois sur les fesses et le moins que l'on puisse
dire c'est qu'ils savent très bien faire en sorte de nous surprendre de façon intelligente. Les téléspectateurs sont donc plongés dans l'univers de The Borgias avec une telle
aisance et surtout tant de surprises que je n'ai pas envie de décrocher. Cette saison 3 est pour le moment la meilleure de la série. Et ce qu'il y a de bien avec The Borgias
c'est que plus les saisons avancent, mieux les saisons sont. C'est fout surtout que tout le monde portait l'an dernier aux nus Borgia, la série de Canal + et je
dois avouer que cette année, je préfère défendre The Borgias. Elle est bien plus élégante cette version dirons nous. Bien que je ne déteste pas celle de Tom
Fontana, au contraire (j'ai même investi dans les DVD, pour vous prouver ma bonne foi). "Lucrezia's Gambit" permet donc de faire évoluer les choses dans une direction
bien plus intéressante.
Notamment vis à vis de Lucrezia qui n'a pas vu venir le fait que Frederigo cache bien plus de choses qu'elle n'aurait pu le penser. Ce que j'aime c'est qu'elle pense vraiment qu'elle a gagné pour
le moment. Le petit jeu qu'elle a avec le Prince Rafael est succulent. The Borgias parvient donc à exploiter le filon de façon tellement efficace que j'ai trouvé dommage
d'arrêter l'épisode en si bon chemin. Comme si la durée de l'épisode était beaucoup courte. Mais de toute façon, cela arrive souvent avec cette nouvelle saison de The Borgias.
Tout cela permet aussi de faire avancer d'autres intrigues comme celle de Cesare Borgia qui pense avoir une fois de plus de l'avance sur Caterina. Sauf que l'on se rend bien compte que ce n'est
pas du tout le cas. En effet, on se rend compte que Caterina est bien plus maligne que l'on ne pourrait le croire. Et j'ai hâte de voir ce que les scénaristes nous réservent encore de belles
choses.
Note : 6.5/10. En bref, une transition efficace et étonnante.