
Cet assouplissement des sanctions dans le secteur des technologies des télécommunications peut apparaître comme un geste de soutien de la part de Washington aux opposants iraniens avant l'élection présidentielle prévue en juin.
Le gouvernement américain avait déjà accompli un geste en ce sens en 2010, après l'élection contestée de Mahmoud Ahmadinejad un an plus tôt, et avait autorisé l'exportation de quelques logiciels de base et de services liés à l'internet comme le chat et le courrier électronique.