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Critiques Séries : Da Vinci's Demons. Saison 1. Episode 7. The Hierophant.

Publié le 01 juin 2013 par Delromainzika @cabreakingnews

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Da Vinci's Demons // Saison 1. Episode 7. The Hierophant.


Quand j'ai débuté Da Vinci's Demons, je m'attendais à une vaste blague. Je n'avais pas vu d'images de la série auparavant, mais cela sentait quelque chose de très mauvais. Et puis il n'y a rien de tel qu'une bonne surprise pour donner envie au téléspectateur de revenir. C'est ce qu'il s'est passé entre moi et le pilote de la série. Da Vinci's Demons a ses défauts, notamment sa manière de gérer les personnages, et peut être aussi son rythme qui est parfois un peu bringuebalant. Sauf que voilà, c'est addictif qu'on le veuille ou non. En tout cas, cela fonctionne à merveille avec moi et je vous dirais même plus : j'en redemande. Autant vous dire que je suis assez friand de voir un peu plus de Da Vinci's Demons chaque semaine. Peut être que la série a encore énormément de choses à nous raconter mais pour le moment elle est parvenu à me combler. Il faut bien avouer aussi que la qualité, ne serait-ce que pour l'ampleur des décors (on est sur Starz, pas une immense chaine câblée américaine).
Bref, Leonardo a encore de quoi nous faire à la fois rire et divertir dans "The Hierophant". Leonardo est tout de même l'inventeur (dans Da Vinci's Demons) du scaphandre. Il a envie d'entrer dans le Vatican afin de rencontrer le Pape et surtout en découvrir un peu plus sur cette quête qu'il a depuis le premier épisode autour du Book of Leaves. L'association de ces deux personnages qui n'ont rien à faire ensemble était particulièrement efficace. D'autant plus que cela permet encore une fois de faire un lien entre Da Vinci's Demons et la famille Borgia. L'inventivité réside donc dans le côté Jules Vern-esque de Da Vinci's Demons. La série utilise les inventions de son héros pour créer un univers fantaisiste. Mais au fond, il y a aussi une petite réflexion qui est apposée histoire de ne pas trop rendre le tout médiocre et peut être pas suffisamment sérieux. Au fond, quand on regarde une série historique, on a aussi envie de voir les enjeux de l'époque. Alors certes, tout n'est pas très fidèle, ou encore très bien décrit, mais encore une fois ils parviennent à donner au téléspectateur l'envie de revenir.

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Notamment autour de cette histoire d'espion de Rome ou encore de Lucrezia. Ces deux histoires sont donc liées, et Giuliano est là pour faire la lumière sur cette affaire. Da Vinci's Demons mène son bateau de façon très fluide, sans pour autant exploiter tout ce qu'elle aurait pu exploiter. Il y a trop de mystères autour de Lucrezia pour le moment, et de la manière dont tout cela réussi à faire évoluer la série. Du coup, je me rabat une fois de plus sur Da Vinci qui lui sert de divertissement efficace. La confrontation face au mystérieux prisonnier aide également le personnage a comprendre de plus ample choses. Ce n'est pas fait de façon très finaude mais je ne pense pas que ce fût le but de Da Vinci's Demons. Au premier abord, la série pourrait apparaitre assez médiocre, voire mauvaise, et quand l'on creuse un peu plus, on découvre qu'elle s'améliore mine de rien. De plus, et ce n'est pas négligeable, son côté addictif me donne terriblement envie d'être la semaine prochaine afin de savoir comment tout cela pourrait bien se conclure.
Note : 7/10. En bref, sans être parfaite, Da Vinci's Demons devient de plus en plus addictive.


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