Selon Wikipédia :
« L'esclavage
est l'état ou condition d'un individu sur lequel s'exercent les attributs du
droit de propriété ou certains d'entre eux. »
« Voici une définition du travail forcé que l'on peut
rapprocher de celle de l'esclavage : le terme travail forcé ou obligatoire
désignera tout travail ou service exigé d'un individu sous la menace d'une
peine quelconque et pour lequel ledit individu ne s'est pas offert de plein
gré. »
« On désigne une société dont les esclaves occupent une
fonction indispensable à son fonctionnement global sous les termes de
société esclavagiste »
À la lumière de ces définitions, il est clair que le
gouvernement exerce sur nous des attributs du droit de propriété en confisquant
la plus grande part de nos revenus.
Les Agences du revenu du Québec et du Canada confisquent, sans
notre consentement, plus de 50 % de nos
revenus, sans nous fournir en retour des produits et services correspondant aux
montants confisqués.
En résumé, nous sommes des esclaves à temps partiel.
Ce statut donne le droit aux politiciens de se servir de
nous pour satisfaire les exigences des groupes d’intérêt.
C'est aussi ce statut qui explique l’arrogance des
fonctionnaires envers les citoyens qui paient leur généreuse rémunération.
Tous en réalité nous voient comme nous sommes : des esclaves
à temps partiel.
Pour abolir un régime qui profite autant à l’élite étatique
et à celle de groupes d’intérêt, il faudra que des centaines de milliers de demi-esclaves
descendent dans la rue avec leurs casseroles. Ce n’est pas demain la veille. L’esclavagisme
favorise l’aliénation des individus, un terrain peu propice à la révolte.
Stephan Moulyneux décrit l’évolution du processus
d’esclavage des humains de l’antiquité à aujourd’hui.