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Star Trek Into Darkness

Publié le 09 juin 2013 par Bigreblog

Hullo everyone! :)

Ça y est! 2013 a enfin vraiment commencé au niveau ciné pour moi! Ça en aura mis du temps, j’en conviens… Mais vu la playlist de l’été à venir, je vais m’enfermer en salles obscures pour une bonne semaine en tout… ^^

Bref, les enfants, j’attendais cet instant depuis l’annonce, il y a quelques mois, de l’acteur incarnant le grand vilain über evil de ce nouvel opus de Star Trek.

Spoiler: il est briton. Mouark. Je vous ai eus.

Re-bref (parce que j’aime ça), j’ai aimé, j’ai a-do-ré ce film.

Et pour ceux ici qui comme moi seraient fans de la série originelle, venez donc faire un tour, vous ne serez pas déçus.

;)

(Rien que pour toi Chettebi, un avant-gout…

;)
)

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Attention, people, je vais spoiler… :p (Si peu, mais soyez prévenus)

Star Trek 2, ça parle de quoi?

Alors, pour la faire simple: l’USS Enterprise vient de rentrer d’une mission un peu capotée lorsque Kirke est évincé de sa place de Capitaine du vaisseau. Il doit pourtant reprendre sa place lorsque la Terre est attaquée par un terroriste seul dénommé John Harrison, et qui faisait partie de Star Fleet elle-même…

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Ai-je parlé d’une 3D qui pour une fois sert le film?

Soyons bien gentils avec le lecteur non-puriste, quiconque n’aura pas gigglé dès l’annonce de "On va chez les Klingons" aura ma main en travers de sa face. Ça faisait juste DES ANNÉES! que j’attendais qu’ENFIN on parle de cet ennemi héréditaire de Star Trek, celui qui parle bizarre et qui a une sale tronche.

(Histoire ici de lever mon chapeau à ceux qui ont pris la peine d’apprendre la langue des Klingons: c’est moche, bravo les gens)

Pour être claire envers les autres fans comme moi, Star Trek c’est quoi? Une série de science-fiction, avec des personnages badass et un humour décapant à peine dissimulé qui tient souvent à la seule présence de Spock dans une scène.

Le film…reprend les mêmes idées. Sauf qu’ici, on SAIT, on VOIT, qu’Uhura et Spock sont amoureux (la scène de ménage m’aura d’ailleurs bien fait rire), et l’humour, bien que tenant tout aussi souvent au Vulcain que dans la série, tient ici aussi trop souvent à la présence de cet enfoiré britannique un brin chtarbé qui se nomme Simon Pegg. Voilà.

Vous saurez donc en lisant ces lignes que Scotty est mon membre d’équipage préféré.

Avec Leonard. Parce que bordel, un Eomer rasé, lavé, et qui fait des blagounettes, j’ai envie d’en manger un bout. Voire deux. Yum.

Bref, je m’égare. Retournons sur les traces de la série. Outre l’apparition des fameux Klingons, retenons l’arrivée spectaculaire dans tes mirettes, toi, novice, de Khan, aka the big bad villain de la série que, comme dirait Leonard Nimoy (bless that man autant que John Hurt, sérieux), on ne peut battre qu’en sacrifiant ce que l’on a de plus cher.

Pour Spock, ça veut dire son autre. Mouar. Kirke, son autre. Je ris. Et pourtant, c’est vrai. Rien ne le fait chouiner, le Spock, comme la mort de son meilleur ami. Zachary, I love you. Le jeu de cet homme est juste flawless.

Reste pour moi à rendre hommage à l’équipage.

Zoë Saldana, ici, au lieu de se la jouer "Je vais draguer un Vulcain pour voir" comme dans le premier opus, se la joue plutôt "Je suis une femme amoureuse et en tant que tel, touche pas à la frange de mon mec!", ce qui est assez rafraichissant je dois dire.

Zachary Quinto, je n’en peux plus de chanter ses louanges. Depuis Heroes, j’en suis fan. Voili-voilou.

Chris Pine est décidément pas mauvais comme acteur, malgré son passé plus que douteux dans Princess Diaries et sa gueule de bébé.

Anton Yelchin, j’adore. L’accent russe, toussa. Tchekov est l’un de mes préférés.

John Cho, et son Sulu. Je le trouvais déjà assez badass dans le premier, ici, il s’émancipe carrément. Ce qui est vraiment cool.

Simon Pegg donc, son accent écossais auquel je ne sais résister, et son humour juste irrésistible (bien que la salle ait laissé son propre humour au placard, bande de frigides). "Comment ça! Je pars un jour, un petit jour, et vous cassez mon Enterprise?"

:D

Karl Urban…rrrrr… Ouais, ban… Inutile de préciser que je me rends à l’infirmerie quand tu veux, bonhomme.

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Mmmh, un Eomer en combi moulante… *essuie la bave sur son menton*

Alert! Scene stealer spotted! Alert!

Mouar mouar. Vous qui avez vu la bande-annonce, vous qui savez, vous avez donc deviné qui est ce fameux scene stealer.

Ben of course que c’est Ben.

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Qui pour l’occasion, se la joue Loki dans The Avengers (mais en même temps Tom est son pote).

La planète entière sait que je ne me compte pas parmi les nombreuses (bigre, vraiment nombreuses) Cumberbitches qui hantent Tumblr, mais malgré tout, j’avoue que désormais, je ne nierai plus que Benedict Cumberbatch est un bel homme.

Bon sang, la première apparition de Harrison en gros plan m’a juste coupé le souffle, tellement cet imbécile a la grande classe. Et des yeux à tomber, accessoirement.

Voilà donc, pour le big bad villain de l’histoire. Un britannique encore, qui met une dératée incroyable à la moitié de la planète et de ses habitants sans érafler son brushing (ou ses pommettes si saillantes, hein Lara? (I could cut myself on those cheekbones")). Badass, vous dis-je.

Et moi de souligner que ma scène préférée est celle du duel entre Harrison et Spock, durant lequel le dernier utilise ENFIN sa prise spéciale vulcain (celle qui fait kré mal), et durant lequel Ben se mange de sacrées mandales quand même (mais le tout sans saigner, il est vraiment fort).

Ce qui fait que pour moi, cette scène reste et restera à jamais la scène de la "Baston entre S et S".

Mouar. S et S. Ca fait boysband classe.

"Mais qui sont S et S?" se demandent les incultes dans la salle. Allez choisir un pont duquel vous jeter, les gens. S, c’est Sylar, et S, c’est Sherlock. Aka deux des meilleurs psychopathes (pardon, sociopathes) de l’Histoire de la télévision. Point barroche.

Bref, mes gens adorés, si vous aimez la science-fiction, si vous aimez Star Trek, si vous aimez les acteurs britons qui dépotent, et si en gros vous aimez Benedict Cumberbatch, je ne peux que vous conseiller d’aller vous planter devant Star Trek Into Darkness. Et plus vite que ça.

Note: 8,75/10 (scénario: 8/10 (quelques faiblesse (j’ai tout deviné en deux minutes) mais tenable)jeu: 9/10BO: 9/10 (le thème, j’en suis folle depuis ma plus tendre enfance)adaptation: 9/10 (bien mieux que le premier, brava))

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Mais oui, petit kiwi sexy, tu peux prélever mon sang et me dupliquer, Martin approuvera…



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