Grèce, les prévisions erronées du FMI causées par les jeux vidéo

Le FMI a récemment reconnu que son diagnostic de la crise grecque et la posologie des remèdes à appliquer était "inopérants".

Sur la Grèce le FMI s’est trompé. La critique est aussi valable pour la CEE où certains officiels reconnaissent que « à part Jean Quatremer plus personne n’y croit vraiment, et encore Quatremer c’est parce que le cuistot lui refile du rab gratos à la cantine » nous confie notre source.

Dès lors comment expliquer les préconisations erronées du FMI et de la CEE, alors que ces organismes concentrent plus d’experts au mètre carré que les plateaux de TV brave patriote un soir de match ?

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A Bruxelles, Jean Quatremer revient et il n’est pas content

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A Bruxelles, Jean Quatremer revient et il n’est pas content

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A Bruxelles, Jean Quatremer revient et il n’est pas content

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Perte de confiance

A Bruxelles, Jean Quatremer revient et il n’est pas content

Pour Dark_Knight_avenger_77, expert en chef à la CEE au sein du groupe de recherche PIPOS (Prospective Informative des Process Opérationnels Structurants), les échecs du FMI et de la CEE pourraient avoir été causés par les grecs eux-mêmes dont le comportement a été radicalement transformé par l’usage intempestif des jeux vidéos pourtant interdits [1]. Les jeux vidéo seraient en effet connus pour « détourner le travailleur grec du monde réel et l’empêcher d’optimiser son employabilité en remettant en cause son self-pricing sur le marché du travail ».

Si l’expert reconnait que les recommandations préconisées par le FMI sont « tactiquement kiffantes en “deathmatch” 1v1 », il admet qu’elles sont moins efficaces « en “team mode” » notamment quand on passe « d’une vue subjective à une vue 3D au niveau européen ». De plus, ajoute le spécialiste : « il y a de gros lags sur le marché grec causés par des “noobs” qui viennent régulièrement casser le jeu en spoilant des cheat mode ».

L’expert est d’autant plus choqué qu’il affirme que la CEE a fourni à la Grèce une “soluce” qui marchent pourtant à tous les coups : « choisir le “governement mode” “tribalisme” et produire un maximum de boucliers. Avec 200 boucliers on peut construire une caserne qui permet de produire rapidement une unité “Aube Dorée”. Avec 200 points d’attaque et un bonus “premier coup dans le dos” contre les unités étrangères cette unité de début de partie permet de conserver un “crime level” assez bas en offrant un “game play” satisfaisant ».

Las, cette stratégie semble échouer et rend impossible la poursuite de processus de normalisation qui selon notre spécialiste repose sur « l’utilisation massive des “Aubes Dorés” afin de débloquer le niveau “état vassal” en quelques tours. Ceci permet ensuite de construire l’“achievement” “libéralisme intégral”, seul moyen de passer le redoutable boss “conscience de classe” du niveau suivant ».

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Unités "Aube dorées", PV : 200, combat : + 50 %, éducation : -300 %

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Stratégie

Unités "Aube dorées", PV : 200, combat : + 50 %, éducation : -300 %

Malgré ce tutoriel simple, les résultats ne sont manifestement pas là et prennent même un tour de plus en plus dramatique. Il semble que le temps béni où les spécialistes de la CEE et du FMI pouvaient terminer un “level” en envoyant quelques magiciens avec des “skills” variés et un nain soient désormais bien révolus. Et notre spécialiste de conclure : « La Grèce perd de plus en plus de points de vie, encore un “headshots” et elle sera “game over” ».

Notes

[1] Alors qu’au Pakistan la vie en ligne permet au contraire d’apaiser les tensions