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Le racket européen de l’oligarchie bruxelloise Encore une...

Publié le 17 juin 2013 par Lino83

Le racket européen de l’oligarchie bruxelloise

Le racket européen de l’oligarchie bruxelloise Encore une...

Encore une fois, la vache à lait française est sommée de contribuer au budget de l’Union Européenne avec son éternel budget en hausse.

Depuis des années, la France subie, silencieusement, le diktat des marchés financiers et des technocrates européens qui nous imposent en permanence de financer les privilèges de dizaine de milliers d’autres technocrates et d’obscurs conseillers gadgets.

Cette année, 340 fonctionnaires européens vont bénéficier d’une retraite anticipée à 50 ans avec une pension de 9.000 Euros par mois.

Une indécence au regard des grands mouvements sociaux qui luttent en France et en Europe pour des retraites décentes. La différence est devenue trop importante entre le peuple et les « dieux de l’Olympe ».

Plusieurs fonctionnaires européens vont donc s’offrir, grâce aux cotisations de la France, de véritables ponts d’or, quand d’autres essaieront d’arracher quelques euros supplémentaires pour leurs faibles retraites.

Giovanni BUTTARELLI, contrôleur adjoint de la protection des données, bénéficiera d’une retraite de 1515 euros/mois pour seulement 2 ans de service. En comparaison, un salarié français ou belge partira avec une retraite équivalente après une carrière complète de 40 ans.

Peter HUSTINX, fonctionnaire européen, bénéficiera pour 10 années de travail d’une retraite de 9000 euros/mois, Roger GRASS, greffier à la Cour de justice européenne, touchera 12.500 euros/mois, Pernilla LINDH, juge au Tribunal de première instance, bénéficiera de 12.900 euros/mois ou encore Ruiz-Jarabo COLOMER, avocat général, touchera une retraite de 14.000 euros/mois.

Une démesure à l’image de celle qui frappe le monde sportif et artistique et qui réveille en nous une âme d’eurosceptiques convaincus.

La France est au bord du précipice et l’Union Européenne est cette main malfaisante qui veut nous propulser dans le gouffre de l’austérité.

Il est évident que notre appartenance à la zone euro semble se résumer à banquer pour les autres, toutes ces banques qui ont désobéis aux règles.

Pourquoi, notre argent ne servirait pas nos concitoyens plutôt que de sauver les banques grecques, françaises, allemandes, néerlandaises qui sont à l’origine de nombreux dérapages budgétaires.

A quand le peuple comprendra que la dette publique est illégitime et ne doit pas être remboursée.

La France a aujourd’hui une dette de plus 1800 milliards d’euros, or elle a déjà payé plus de 1400 milliards d’euros d’intérêts à ses créanciers depuis 40 ans. Des créanciers qui sont à 65 % étrangers et en grande partie des banques privées et des marchés financiers.

Nos politiques doivent mettre rapidement un terme à ce racket organisée qui plonge notre pays vers un désastre social et plombe notre économie.

Il faut avoir le courage d’un De Gaulle résistant et la force de caractère bien trempée d’un Hugo Chavez pour permettre à notre pays de redevenir l’acteur de son propre destin.

Le gouvernement socialiste veut faire des économies sur le dos des petits gens du peuple, moi je plaide pour que l’on racket, à notre tour, tous les prédateurs spéculateurs des marchés financiers.

La France doit cesser de verser sa contribution à l’Union Européenne. Notre contribution est de 20 milliards d’euros pour 13 milliards d’euros reversés à la France. Une escroquerie de 7 milliards d’euros dont on peut largement se passer.

Nous pouvons déjà économiser 20 milliards d’euros et réinjecter cette somme dans les économies nationales et locales de notre pays.

Nous devons quitter l’Union Européenne et la zone Euro tout en permettant à la France de n’accorder aucun statut de monnaie officielle à l’Euro mais de lui accorder un statut commercial plutôt que légal comme en Suède.

Le racket européen de l’oligarchie bruxelloise Encore une...
Le racket européen de l’oligarchie bruxelloise Encore une...
 

Autre mesure d’importance, notre sortie de l’Union Européenne dont la faisabilité n’est possible qu’en invoquant l’article 50 du Traité sur l’Union Européenne.

Article 50 « Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union ».

Certains politiques et économistes inféodés aux lobbys financiers crient aux loups en menaçant la France des pires conséquences en cas d’éventuelle sortie de l’Union Européenne telles que l’isolement sur la scène européenne et la mise en quarantaine par les marchés financiers.

Pourtant l’article 50 permet de conclure un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union.

En clair, nous pourrions toujours profiter des avantages de l’Union Européenne tout en étant préservé de ses néfastes conséquences.

Ensuite, même si la France n’est plus dans l’Union Européenne, le monde est vaste et nombre de pays seront tentés de venir travailler avec nous pour bénéficier de la qualité de nos produits et le savoir-faire français.

La France deviendrait un pays de consommation pour les pays émergents et nous pourrions démultiplier les partenariats avec le monde entier.

De plus, notre retrait de l’Union Européenne nous permettrait de ne plus participer ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil économique. Nous retrouverions une complète souveraineté jusqu’ici bradée par les technocrates de Bruxelles.

Un avantage sur le plan des finances puisque nous serions libérés de nos obligations envers l’article 104 du Traité de Maastricht et envers l’article 123 du Traité de Lisbonne qui nous empêchent de recouvrir notre indépendance monétaire.

Un désengagement qui pourrait nous permettre surtout de revenir sur l’article 35 de la loi n°93-980 du 4 août 1993 relative au statut de la Banque de France et à l’activité et au contrôle des établissements de crédit.

Un retour souverain sur la loi scélérate et injuste de la Loi du 3 janvier 1973 dite « loi Pompidou, Giscard, Rothschild » qui dans son Article 25 stipule que le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France.

L’annulation de cet article mettrait un terme définitif à l’endettement public et faciliterait la création monétaire.

Faut-il rappeler que si la France n’avait pas empruntée aux marchés financiers privés sa dette serait aux alentours de 400 milliards au lieu des 1400 milliards actuellement.

Malheureusement la dette publique est une affaire rentable pour les agences de notation dont les notes influent sur les taux d’intérêts qui sont, elles-mêmes, soumises aux diktats des marchés financiers.

La Suède a décidée, unilatéralement, de ne plus payer les intérêts de la dette publique et prévoit une hausse considérable de sa croissance. Les finances publiques se portent bien, la dette publique nette étant parmi les moins élevées au monde.

Il est évident qu’un pays qui annule sa dette en profondeur ne représente plus de risque d’insolvabilité, ses finances publiques s’améliorent très rapidement et sa croissance économique reprend.

Dans le cas de la France, l’annulation de la dette publique représenterait un gain de 133 milliards d’euros par an pour les finances publiques soit 83 milliards d’euros de remboursement du capital de la dette et 50 milliards d’intérêt.

Le SMIC à 1500 euros tant chéri par Jean-Luc Mélenchon et ses potes de Gauche ne serait plus une utopie et la misère reculerait considérable dans notre pays. Il faut aussi diminuer les taxes et retirer les obstacles au commerce international.

Pour cela faut-il encore des hommes politiques qui en ont dans le pantalon et qui sont de véritables patriotes soucieux du bien-être des Français et qui aiment leurs pays.

Pour réussir dans la France de demain, le Peuple doit s’insurger et s’élever contre la France des apatrides financiers qui achèvent à petits feux ce qui nous reste de dignité.


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