Le terrorisme intellectuel : arme de destruction massive du système

par Laurent Deregnaucourt (son site)

Le terrorisme intellectuel : arme de destruction massive du système

Un pouvoir de plus en plus fascisant, une pensée unique imposée digne d'un 1984. La République dite une et indivisible, n'est plus. Bienvenue dans le monde de la pleurniche communautaire et la dictature cosmopolite !

En 2013 en France, on n'a plus le droit de faire la critique d'une communauté sans être insulté de fasciste. Voici la nouvelle arme du système politico-médiatique actuel : le terrorisme intellectuel. Plus efficace qu'une arme à feu, le terrorisme intellectuel désarçonne n'importe quel argumentaire. Il se décompose en plusieurs catégories à utiliser selon les cas : raciste, fasciste, antisémite, islamophobe, homophobe, xénophobe et j'en passe. Ces qualificatifs en ont même perdu leur sens à force d'être utilisés à tort et à travers.

En obligeant l'opinion publique à être pour tout et n'importe quoi, le système impose sa pensée unique et oppresse ceux qui y échappent. A l'image de la dernière Manif Pour Tous où l'on a compté plus de 350 interpellations, en comparaison aux événements du Trocadéro lors du sacre du PSG qui n'a fait qu'une trentaine d'interpellés, le système a choisi son camp et par la voie la moins démocratique : la répression politique. Ce système politico-médiatique donneur de leçons qui se permet de critiquer le régime de Bashar Al Assad ferait bien de balayer devant sa porte.

Des exemples vous en voulez ? En voilà !

Dernier événement en date : un militant pro-famille condamné à deux mois de prison ferme pour rébellion. La surpopulation carcérale n'est plus d'actualité lorsqu'il s'agit d'un opposant politique dit homophobe.

La mort du jeune Clément Méric où on a vu pendant une semaine la presse condamner l'extrême droite fasciste qui a « assassiné un gentil militant pacifiste anti-fasciste », alors qu'il ne s'agissait que d'une énième bagarre qui a mal tourné et selon les éléments de l'enquête c'était le groupe anti-fasciste qui avait provoqué l'altercation. Le même jour un homme avait été tué par balles à Marseille. Mais c'est pas grave, ce qui compte c'est que le fascisme, tel un phénix renaît de ses cendres.

L'agression d'une femme voilée à Argenteuil qui a fait les choux gras de la presse ces derniers jours, ravive soit disant un climat islamophobe en France.

Teddy Riner, le champion olympique de judo qui dans le Buddha Bar de Paris s'est vu agrippé le bras par une serveuse sauvage parce qu'il n'avait pas payé en sortant de table pour aller voir un spectacle brésilien. Il a vu en ce geste un acte raciste, qui a coûté à la serveuse en question un licenciement en bonne et due forme.

Une justice à deux vitesses

Voilà où on en est en France, pays soit disant démocratique, tandis que les agresseurs du RER D s'en sortent avec du sursis et des avertissements. Normal, c'étaient des jeunes d'origine africaine issus de l'immigration qui n'ont pas d'autre moyen d'expression que la violence parce qu'il faut les comprendre, ils sont pauvres et discriminés par leur race dans une société dominée par les méchants blancs qui eux travaillent pour payer leurs allocations familiales. Et puis vous savez, faire de la prison, cela ne va pas les aider... Merci qui ? Merci Mme Taubira, ministre de la justice qui n'est pas toute blanche, judiciairement parlant.

Le terrorisme intellectuel institutionnalisé

Heureusement pour combattre le racisme, la xénophobie, l'homophobie, l'antisémitisme et le fascisme, il existe les associations tel que SOS Racisme, la Licra, le Mrap et le mouvement LGTB. Ces associations extrêmement médiatisées qui font l'apologie du métissage de masse sont soutenues par des personnalités de la musique, du cinéma, de la littérature et de la politique. La Licra a d'ailleurs créé une application pour smartphone qui sert à dénoncer les tags racistes. On espère que les nombreux "Nik la france" et autres inscriptions anti-françaises auront la même fin.

Ainsi, ces associations censées à la base défendre les minorités ne servent finalement que d'arme de terrorisme intellectuel à celui qui aura le malheur d'être fier d'être français, catholique, blanc et hétérosexuel, soit une arme politique pour imposer la vision cosmopolite du pouvoir en place et réprimer les opposants.

La finalité mondialiste

Cette arme qu'est le terrorisme intellectuel a pour finalité la perte d'identité et de repères du peuple français qui, grâce au (ou à cause du) multiculturalisme imposé et au métissage de masse, viendra à penser qu'il est partout chez lui et sera prêt à accepter d'être dirigé par un gouvernement mondial.

Pour conclure, on peut observer clairement que l'on est sous une dictature cosmopolite à but mondialiste grâce à (ou à cause de) ce terrorisme intellectuel que même le peuple lobotomisé par la télévision défend. Une citation de Winston Churchill résume ainsi toute cette tartuferie : « Les fascistes de demain s'appelleront eux même antifacistes. ».