Puisse ton amour ne connaître le chagrin,
Car ces pleurs seraient sa prison,
Retiendraient avec force les pesants doutes,
Les regrets pour longtemps pollueraient sa mémoire,
Combien de jours,combien d’années alors pour retrouver le cap de l’espérance,
La liberté splendide accordée par la vérité,
Pour connaître l’ineffable joie des chaînes rompues par le puissant pardon,
Ton amour enfin en toute l’expression de son éternité retrouverait son sourire originel,
Mais Dieu puisses-tu éviter ces souffrances,
Et te rendre sans dommages aux délices de ton intime évidence.