L’autorité de sûreté nucléaire pointe du doigt un nouveau cas de délit de marchandage doublé d’un délit de prêt illicite de main-d’œuvre.
Il est reproché à EDF et à deux de ses prestataires de services d’avoir eu recours au prêt illicite de personnel pour les besoins permanents de leur activité. Les entreprises prestataires mettaient à disposition d’EDF ses salariés, et cela à titre exclusif, à but lucratif et en dehors des cas établis par la loi.
Ce délit avéré de prêt illicite de main-d’œuvre est doublé d’un délit de marchandage. Le personnel ne bénéficiait évidemment pas des mêmes rémunérations que celles des agents statutaires. L’affaire est en cours, pour en savoir plus cliquez http://www.reporterre.net/spip.php?article4473